Les excuses, ça nous use !
Dépêche n°57
Date : 20/04/09
Lien : http://www.time.com/time/world/article/0,8599,1891639,00.html
Quelle honte !
Quelle arrogance !
Que vont penser de nous nos amis européens et notre grand ami américain ?
Comment concilier de bonnes relations quand des élus se permettent des comportements aussi scandaleux ?
Aujourd’hui, le Parti Anti Arrogance Française (ou P.A.A.F.), voudrait souligner tout le mal qu’il pense de cette folle hystérique, cette passionaria des excuses qu’est Mme Ségolène R.
En effet, non contente de se couvrir de ridicule au Sénégal en présentant des excuses pour des motifs aussi futiles sur le fond que déplacés sur la forme, la spécialiste de la politique politicienne (ouh ! c’est pas beau), a renchéri de plus belle en présentant des excuses à José Luis Z., le patron espagnol, pour des propos soi-disant tenus par Notre Suprême de volaille.
Quelle arrogance !
Car José Luis est notre ami et l’ami du Nestor Souriant. Ils travaillent ensemble à la construction d’un monde meilleur où les méchants seront punis et les gentils seront heureux.
Or qui s’excuse auprès de ses amis ? Les faux-amis ! Entre amis, nul besoin de rabaisser l’orgueil national qui fait la fierté des pig… du peuple ! Entre amis, point n’est besoin de repentance, ce vil sentiment comme l’a bien démontré le Nabab Sacré ! Entre amis on se pardonne et on n’en parle plus.
Mais Mme Ségolène R. n’est pas une amie de nos amis ! En s’excusant à tout bout de champ, elle fait preuve d’une arrogance incroyable, comme si, en se rabaissant, elle se mettait au niveau de ses interlocuteurs ! Quelle commisération, quel mépris.
Non, Mme R., la France ne considère pas ses amis comme cela ! La France, par la voix de son héraut magnifique, dit la vérité, dit ce qu’elle pense (et parfois, faudrait prouver qu’elle a bien dit ce qu’on pense qu’elle a dit). La France ne donne pas de leçons au monde, y compris des leçons de politesse, la France montre l’exemple !
Vive les discussions franches entre camarades,
Vive l’humour de corps de garde,
Et vive les périnées de champion !
Le P.A.A.F.